Lokhlass
Messages : 7 Date d'inscription : 20/04/2012 Age : 23 Localisation : Sur le Blackpearl
| Sujet: La Rencontre d'un chef Sam 21 Avr - 18:12 | |
| Je marchait dans la forêt O.o je vu un délicieux humain miam miam,je m'approcha discrètement de lui il semblait avoir peur très peur je me montra et rigola il se mit a courir je prit mon envol je piqua vers l'humain il tomba. J'était devant lui il tremblait de peur --' cela n'était pas marrant il ne se defender pas ennuyant *soupir* je n'ai aucune autre solution j'utilisa mon pouvoir du feu aujourd'hui je voulait un humain en brochette ^^ je le crama et le mangea miam. Les humain sont meilleur cuit que cru! Après l'avoir manger je poursuivit m'a route il faisait un grand soleil je me méfier du jour car se n'ai jamais trop sur on ne sait jamais avec les humain. Soudain j'entandit un bruit!
Je me retourna bingo OoO ma chef U_u que me voulait-elle a vrai dire je ne lui ai jamais parler je n'ai jamais fait connaissance avec elle je l'avait vu 2 ou 3 fois pour être sincère elle comment dire joli et aussi mystérieuse sa allait être la première fois que je lui parle elle avança vers moi et engagea la conversation. | |
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Eris Nyctis Admin
Messages : 98 Date d'inscription : 22/01/2012
| Sujet: Re: La Rencontre d'un chef Sam 21 Avr - 20:09 | |
| La forêt était calme aujourd'hui. C'était ce qui m'avait mis la puce à l'oreille. Une forêt silencieuse, ça n'existait pas. La nature retenait son souffle, et même le vent s'était arrêté de souffler dans les feuilles vertes des arbres. Je marchais tranquillement pendant une dizaine de minutes, peut-être moins, aux aguets, redoutant que quelque chose ne me saute dessus. Je savais me défendre, bien sûr, ce n'était pas le problème. Une odeur de cramé attaqua mes narines et je grognais. Ça sentait la viande et le barbecue. Une odeur assez alléchante, sans doute, pour quelqu'un qui n'avait pas des sens sur-developpés. Des empreinte de pas sur la terre meuble de la forêt m'indiquaient qu'une personne était passée par là. Non, deux. Un humain et un prédateur. Qui avait tué l'humain. Et qui avait dut le cuire, d'où l'odeur. Je plissai le nez dans un mouvement de dégoût. Une telle bestialité. Un Akuma possédé ? Peut-être même un Akuma en pleine possession de ses moyens. Il allait avoir chaud au cul. Je fermai les yeux.
Omniscience, mot qui tinta dans ma tête, rebondissant sur mes parois crâniennes.
Une image remplaça le noir de mes yeux clos. Un plan satellite de l'endroit dans lequel je me trouvais, c'est-à-dire la forêt. Une lueur rouge attira mon attention. Le sang. Le sang était indiqué ici. Il y avait pleins d'êtres vivants, mais la majeur partie du rouge sur tout cela était concentré dans un seul endroit. J'essayais de me rapprocher, en pensée, de cet endroit, et je découvris l'Akuma en train de manger la chair cramé d'un humain. Je le regardais un instant, jusqu'à ce qu'il ai finit son repas. Il reprit sa marche comme si rien ne s'était passé. Pour moi, il n'y a rien à reprocher à un tueur. Mais un mort à le droit à être enterré et à ce que les honneurs lui soit rendue. Un minimum. Les gens qui mangeaient leurs "proies", comme ils les appelaient souvent, me dégoûtaient. Un Akuma, en plus ! Il va la sentir passer, moi j'vous l'dis ! Il vint dans ma direction, sans, apparemment, s'apercevoir de ma présence.
Mauvais chasseur, fut ma première pensée.
Il se serait fait tué trop facilement. Il était situé dans le bas de la chaine alimentaire avec ce comportement ! Je lui réduis fortement la vu et lorsqu'il passa devant moi il ne put me voir. J'attendais qu'il me dépasse pour lui redonner ses sens, pas si élevés que ça, et je marchais exprès sur une brindille pour l'alerter de ma présence. Ses pensées m'assaillirent lorsqu'il se retourna et me regarda, et je sus que je l'avais déjà vu, enfin lui, il m'avait déjà vu. Il était surpris et certainement perplexe. Je m'avançai de quelque pas vers lui et m'arrêtai juste devant le jeune homme qui devait avoir près de quinze ans. Il n'était pas plus haut que moi, et plus petit d'à peine quelques centimètres. Je pris directement la parole, sans me présenter ni le saluer, je n'en éprouvais pas forcement le besoin :
- Tuer les gens n'a rien de mal pour nous, commençai-je d'un ton neutre mais ferme, car ils nous ont fait du mal d'une façon ou d'une autre, ou que certains éprouvent le besoin de tuer. Mais les manger, c'est un acte de barbarie qui témoigne d'une faiblesse certaine, d'un manque d'intelligence, abaissant l'être qui a mangé son semblable de sang au rang d'animal.
Je me penchai en avant, pas honteuse que mon visage soit trop rapproché du sien au point de pouvoir l'embrasser, et je souris malicieusement. Ma voix prit un ton ironique.
- Serais-tu un animal ?
Je ne me reculai pas, attendant sa réponse, souriant, le fixant de mes yeux qui avait virés du gris métal au bleu limpide. | |
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